Wednesday, 17 January 2018

psychologie cognitif

Thème 4 : Psychologie cognitive
L’apprentissage
Plus les espèces sont simple, le plus que son comportement est déterminé par des instincts. Ex : Le saumon est génétiquement programmé pour remonter sa rivière natale pour pondre ses œufs après. Plus une espèce est complexe, plus les mécanismes d’apprentissage dont elle dispose sont complexes. Presque aucun des comportements humain n’est déterminé génétiquement.
Les psychologues distinguent deux types de mécanismes d’apprentissage : les mécanismes d’apprentissage associatifs et les mécanismes d’apprentissage cognitif.

Les apprentissages associatifs sont supportés principalement par l’approche béhavioriste. Il constitue d’associé des stimuli (signaux environnementaux) à des réponses (comportements spécifiques). Les béhavioristes décrivent quatre types  d’apprentissage associatifs : l’habituation, la sensibilisation, le conditionnement classique et le conditionnement opérant.
L’approche cognitive consiste à construire de nouvelles représentations mentales qu’on peut inférer par l’observation d’un changement de comportement. Ce n’est pas l’expérience directe avec l’environnement qui provoque le changement, mais plutôt l’interprétation ou l’importance donné à l’expérience.


Les apprentissages associatifs
Les mécanismes d’apprentissage les plus simples (associatifs) sont l’habituation et la sensibilisation. L’habituation est la diminution d’une réponse comportementale induit par la présence répétée d’un stimulus sans intérêt pour l’organisme. La sensibilisation serait l’opposé, entre autre, l’augmentation de la réponse comportementale en réponse d’un stimulus intéressant.
Ex : Les nourrissons (attention aux nouveaux stimuli)


Le conditionnement classique (Pavlov)


        
Ivan Pavlov étudiait des chiens dans son laboratoire. Pour découvrir les neurones responsables de la salivation, Pavlov avait attaché des mesureurs dans la gueule de ses chiens. Mais le chien salivait à des moments inopportuns. Pavlov c’est mis à étudier ce phénomène au lieu.

Le chien salivait si la viande est placée devant lui. La salivation est une réponse non apprise, un réflexe. Éventuellement, les chiens salivaient au son des assiettes de nourriture qui frappait le comptoir.  Les chiens ont associés le bruit avec l’arrivée de la nourriture. Pavlov a changé l’expérience pour voir si les chiens ferraient la même association  avec une cloche. En effet, la cloche a fait saliver les chiens.
Pour Pavlov, ces types de réponses sont des réflexes conditionnels. Ils sont conditionnels à l’association répétée d’un stimulus neutre. Plus tard, les psychologues développèrent le terme de réponses conditionnelles.

Stimulus inconditionnel : Évènement qui présente une signification biologique pour l’organisme et qui déclenche une réponse spécifique sans qu’il ait eu apprentissage. (Nourriture) 

Réponse inconditionnelle : Comportement inné déclenché par un stimulus inconditionnel sans qu’il ait eu apprentissage. (Salivation)

Réponse d’orientation : Réponse non apprise par laquelle un organisme prête attention à un stimulus. (Salivation après le sifflet)

Stimulus conditionnel : Évènement précédemment neutre qui acquiert la capacité de déclencher une réponse conditionnelle chez l’organisme parce qu’il a été associé à un stimulus inconditionnel. (son du sifflet)




D’après les recherches, l’apprentissage par conditionnement classique est plus efficace lorsque le stimulus conditionnel est présenté environ 0,5 secondes avant le stimulus inconditionnel.


Le recouvrement spontané est la réapparition d’un comportement éteint lorsque les conditions de l’environnement se mettent à nouveau à favoriser ce comportement. Les réponses apprises surviennent, après une longue période de repos, si la réponse réapparait à la suite de la présentation du stimulus conditionnel. Ex : Quelques jours après l’extinction de la réponse de salivation du chien de Pavlov, la cloche peut faire saliver le chien.

Le conditionnement d’ordre supérieur est une forme d’apprentissage dans lequel on utilise, à titre de stimulus inconditionnel, un stimulus qui a acquis, dans une situation de conditionnement précédente, sa capacité de déclencher un comportement donné.  On observe beaucoup de conditionnements d’ordre supérieur avec des réponses émotives. Certaines musiques ou symboles ont la capacité de déclencher des émotions. Ex : L’ours en peluche ou la couverture de ton enfance, la chanson chanté par tes parents quand tu étais petit et le drapeau des nazis sont toutes des exemples possibles de conditionnement d’ordre supérieur.


Le conditionnement opérant
La forme d’apprentissage associatif par lequel un organisme apprend à reproduire ou à inhiber un comportement parce que ce dernier a été renforcé ou puni. L’individu est au courant de son comportement et choisi de le changer au besoin.
Apprentissage par essais et erreurs : Une forme simple d’apprentissage au cours duquel un organisme invente des solutions et ajuste son comportement en fonction des résultats qu’il obtient.
Loi de l’effet : Un principe de Thorndike selon lequel les réponses ont tendance à se maintenir si elles sont renforcées et ont tendance à disparaitre si elles ont punies.

B.F. Skinner

Skinner est un psychologue fameux pour son travail avec le conditionnement opérant. Il a travaillé avec des pigeons qui piquetaient des cibles spécifiques sur des missiles pour modifier leurs trajectoires. Plus tard, il a concentré son étude sur des comportements simples, comme appuyer un levier. Selon Skinner, le conditionnement opérant est le comportement des organismes déterminé par les conséquences de ce même comportement. Skinner a développé une cage sophistiquée surnommé la boite de Skinner.  Dans la cage, il y avait un rat qui devrait appuyer un levier. Dans certaines expériences il pouvait obtenir une boulette de nourriture et d’autre un choc électrique.




Le conditionnement opérant a deux volets : le renforcement et la punition, qui déterminent quels comportements sont reproduits et quels comportements disparaissent.
Le renforcement est le premier volet du conditionnement opérant. Il explique l’acquisition des comportements. Le conditionnement est un évènement qui augmente la probabilité d’apparition d’un comportement qui lui est associé. Skinner distingue deux types de renforcements : positif et négatif.

Le renforcement positif est l’obtention des stimuli agréables par l’organisme à la suite de son comportement. Ex : la nourriture, l’approbation sociale ou les caresses. On nomme ceci des agents de renforcement positif. Les programmes de renforcement peuvent être continue (chaque bonne réponse est renforcée) ou intermittente (les bonnes réponses ne sont pas toutes renforcées).

Le façonnement est une technique d’apprentissage de comportements complexes qui constitue à renforcer successivement les approximations du comportement terminal visé.

Ex : Pour l’apprentissage d’un comportement avec plusieurs étapes complexes, les individus sont renforcés à chaque étape selon une progression prédéterminée.

Au contraire, le renforcement négatif implique que l’organisme élimine des stimuli désagréables par son comportement. Les stimuli désagréables sont par exemple, la douleur, les bruits stridents ou les réprimandes. Ces stimuli sont des agents de renforcement négatif, car ils augmentent la probabilité de réapparition d’un comportement quand ils sont retirés. L’organisme acquiert un comportement pour faire disparaitre ou pour ne pas subir un agent de renforcement négatif.
Ex : Courir pour éviter un choque, éviter une partie spécifique d’une cage.
 Les agents de renforcement peuvent être primaires ou secondaires. Des exemples d’agents primaires sont la nourriture, l’eau et la douleur. Les agents secondaires sont des stimuli associés avec un agent primaire. Ex : Le son d’une cloche.
Stimulus désagréable
Comportement opérant
Agent de renforcement négatif
Un bruit intense
Se couvrir les oreilles
Diminution ou disparition du bruit
Une blessure, un malaise ou un problème de santé
Donner les premiers soins; consulter un médecin
Soulagement de la douleur ou du malaise
Un soleil intense
Porter des lunettes de soleil
Diminution ou disparition de l’éclat du soleil
La neige, la pluie ou le vent
Porter des vêtements de protection
Protection contre le froid, la pluie ou le vent
Avoir à prendre l’ascenseur si on a peur de le prendre
Monter les étages à pied
Réduction momentanée de l’émotion de peur

La punition est un événement qui supprime ou réduit la probabilité d’apparition d’un comportement qui lui est associé. Tout comme le renforcement, la punition peut être positive ou négative.
La punition positive est quand les organismes subissent un stimulus désagréable en conséquence de leur comportement. Les stimuli désagréables comme la douleur ou des réprimandes, sont des agents de punition positive, car ils diminuent la probabilité de réapparition d’un comportement lorsqu’ils sont infligés. La punition négative est quand les organismes sont privés de stimuli agréables en conséquence de leur comportement. Ces stimuli agréables, par exemple du dessert ou une sortie, sont des agents de punition négative, car ils diminuent la fréquence de réapparition d’un comportement lorsqu’ils sont retirés.

Comparaison entre renforcement et punition
Renforcement
Punition
Probabilité accrue d’émettre le comportement
Probabilité réduite d’émettre le comportement
Renforcement positif
Punition positive
Produit par la présentation d’un stimulus agréable (un comportement est renforcé en donnant un bonbon)
Produit par la présentation d’un stimulus désagréable (un comportement est puni en donnant des devoirs supplémentaires)
Renforcement négative
Punition négative
Produit par le retrait d’un stimulus désagréable (un comportement est renforcé en enlevant les devoirs)
Produit par le retrait d’un stimulus agréable
(un comportement est puni en enlevant les bonbons d’Halloween)

Parallèle entre le conditionnement classique et opérant

Conditionnement classique
Conditionnement opérant
Nature de la réponse
Involontaire, réflexe
Spontanée, volontaire
Stimulus
Se produit avant la réponse
(le SC est associé au SI)
Se produit après la réponse
(la réponse est suivie d’un stimulus qui agit comme agent de renforcement ou de punition)
Rôle de l’organisme
Passif (réponse provoquée)
Actif (réponse émise)
Nature de l’apprentissage
Association entre stimuli antécédents
Probabilité de réponse modifiée par les conséquences


Les apprentissages cognitifs
L’apprentissage par intuition ou insight a pris naissance d’après la perspective du Gestalt (Le tout est plus que l’ensemble de ses parties). C’est la forme d’apprentissage fonctionnant par une perception soudaine de tous les aspects liés à la solution d’un problème.

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L’apprentissage latent est un apprentissage qui se manifeste pas tant qu’il n’est pas sollicité. Ex : Tolman un béhavioriste a mis deux groupes de rats dans un labyrinthe. Le premier groupe a été entrainer pour solutionner le labyrinthe afin de trouver de la nourriture. Le deuxième groupe n’a pas reçu de renforcement (nourriture) pour apprendre à solutionner le labyrinthe. Eventuellement, il a placé de la nourriture à la fin du labyrinthe, et le deuxième groupe solutionna le labyrinthe aussi rapidement que le premier. L’apprentissage (solutionner le labyrinthe) était caché, jusqu’à ce qu’il soit motivé à le manifester.

L’apprentissage par observation se base sur les idées de l’apprentissage social. L’apprentissage social explique que l’individu acquiert des compétences en observant le comportement d’autrui. Par simple observation, une personne peut se construire de nouvelles représentations mentales rendant possibles de nouveaux comportements. L’apprentissage par observation est l’acquisition de comportement en observant les autres les reproduire. Il est principalement utilisé pour enseigner formellement des connaissances. Ex : L’école et les stages de Monsieur Hilario (il observe Monsieur Miron)

L’apprentissage par concepts est un travail direct d’élaboration des représentations mentales. Un concept est un symbole qui représente un groupe d’objets, d’événements ou d’idées ayant des propriétés communes. La plupart des concepts simples sont enseignés par des exemples et des non-exemples. Ex : Concept « chien »..., Chihuahua, Pitbull, Terrier non exemple : Chat, lapin, girafe, etc.
Plus tard les concepts simples sont organisés dans des réseaux hiérarchiques. Des concepts plus abstraits, comme oncle ou racine carrée sont enseignés à l’aide de plusieurs autres concepts. Une étape importante dans l’apprentissage des concepts est la vérification d’hypothèses. Ici l’apprenant peut poser des questions ou offrir des exemples pour les vérifier comme étant justes ou non.
Exemple :

La logique aristote (genre et espèces et différences spécifiques) 











Sujet 2 – La mémoire
Il existe trois phases du processus de mémorisation
a)     L’encodage : modification d’une information permettant de la placer en mémoire.
b)     L’entreposage : la rétention de l’information à long terme.
c)     Le repêchage : la localisation de l’information entreposée et son rappel à la conscience.

L’encodage
Durant cette étape les organes sensoriels effectuent la transduction (changement de stimuli physiques ou chimique en influx nerveux). Il y a trois types de codes utilisés par la mémoire humaine : le code visuel (représentation mentale de l’information sous forme d’un image), le code acoustique (représentation mentale de l’information sous forme d’une suite de son), et le code sémantique (représentation mentale de l’information selon sa signification). Le code sémantique est le plus élaborer des trois codes. Un exemple d’un codage sémantique est l’utilisation de l’acronyme. (Ex : U.S., CPET, PEDMAS)
L’entreposage
Ici on cherche à sauvegarder l’information dans la mémoire. On vise la rétention de l’information. Dans plusieurs cas, la répétition est clé pour la mise en mémoire.
Le repêchage
C’est la localisation de l’information entreposée et son rappel à la conscience. Beaucoup de concept simples sont très facile à repêcher, cependant des idées complexes ou détaillé peuvent être beaucoup plus difficile. L’incapacité de se souvenir de quelque chose peut être due à une erreur de codage ou d’entreposage.

La mémoire sensorielle se rapporte au maintien très bref d’une information par un récepteur sensoriel. Cette type de mémoire ce divise selon la vision et l’ouïe. Un Icône est un stimulus visuel retenu brièvement dans la mémoire sensorielle et le registre de ses mémoires s’appelle la mémoire iconique. Un Écho est un stimulus auditif retenu brièvement dans la mémoire sensorielle et le registre de ses mémoires s’appelle la mémoire Échoïque. Une conséquence du fonctionnement de la mémoire sensorielle est l’impression de continuité perceptive observable dans les phénomènes impliquant l’écoulement du temps. Pour l’information visuel, c’est ceci qui permet le mouvement stroboscopique et le visionnement des films. Pour l’information auditive, c’est ceci qui permet la musique d’être fluides et non seulement des sons hachés.

La mémoire à court terme
Si on prête attention à un stimulus dans un registre de l’information sensorielle, on pourra le retenir pendant 20 à 30 secondes dans la mémoire à court terme ou la mémoire de travail. Ici l’information est déjà devenue une représentation mentale plus ou moins éloignée du stimulus original. Cette représentation se dégrade rapidement si elle n’est pas réactivée.

La mémoire à court terme ne peut généralement emmagasiner que sept éléments, ou tronçons d’information à la fois. La plupart des personnes n’ont aucune difficulté à se retenir 5 tronçons, cependant certaines personnes peuvent en conserver jusqu’à 9.
Le tronçonnage est une technique qui consiste à regrouper en tronçons l’information à retenir. Au lieu de mémoriser 253215958654, on mémorise impossible 12.
L’interférence a un immense effet sur la mémoire à court terme. Une recherche à démontrer que dans 3 secondes (avec interférence) seulement 50% de l’information était retenue et qu’après 18 secondes, presque tous l’information était perdue.

La mémoire à long terme structure l’information et la classe de manière dynamique en tenant compte de la valeur contextuelle (émotive ou cognitive) de l’information. Elle semble avoir la capacité illimitée, à condition que l’entreposage s’y effectue efficacement. La répétition fréquente de l’information pour l’empêcher de se désintégrer est appelé autorépétition de maintien. Elle repose sur des codes acoustiques ou visuels et équivaut à l’apprentissage par cœur. Cette méthode fonctionne assez bien pour les enfants, mais n’est pas très efficace pour les adultes en particulier s’il est difficile de lié ceci aux informations déjà apprises.

L’autorépétition d’intégration est la méthode consistant à associer une nouvelle information à une autre déjà connue afin d’en permettre la rétention. Elle utilise principalement l’encodage sémantique en donnant sens à l’information (le liant avec l’information déjà acquise). D’après les psychologues, cette méthodes la façon la plus efficace à retenir des nouvelles informations.

Il y a trois types de mémoire à long terme. La mémoire épisodique est le souvenir des évènements qui ont été vécus par une personne ou qui sont survenus en sa présence ; mémoire des faits personnels. La mémoire sémantique porte sur des faits généraux ; s’oppose à la mémoire épisodique. La mémoire procédurale ou la mémoire motrice ou encore la mémoire des savoir-faire porte sur la capacité à se souvenir comment on exécute des séquences de mouvements. Ex : demeurer à la surface de l’eau en nageant, lacer les souliers ou les mouvement chorégraphié de danse complexes.

La rétention et l’oubli
Facteurs qui influencent la rétention
L’effet de la position sérielle : Tendance à se rappeler plus précisément les premiers et derniers éléments d’une liste.
·        L’effet de primauté : Tendance à se rappeler les premiers éléments d’une liste.
·        L’effet de récence : Tendance à se rappeler les derniers éléments d’une liste
Le type de tâche mnémonique :
·        La reconnaissance : Type de tâche utilisé pour mesurer la rétention et basé sur l’identification d’objet ou d’évènement rencontrer précédemment.
·        Le rappel : Type de tâche utilisé pour mesurer la rétention et basé sur le simple repêchage
·        Le réapprentissage : Type de tâche utilisé pour mesurer la rétention et basé sur la différence entre le nombre d’essai et le temps nécessaire pour apprendre le matériel une première fois, et une seconde fois.

L’oubli
Théorie de l’interférence : Théorie voulant qu’un individu oublie du matériel stocké à la suite de l’interférence produite par une autre matériel appris.
a)     L’interférence rétroactive : interférence du nouveau matériel sur la capacité de repêcher le matériel appris précédemment.
b)     L’interférence proactive : interférence de matériel ancien sur la capacité de repêcher du matériel appris récemment.
Théorie de l’encodage spécifique : Théorie voulant que l’on oublie du matériel à cause d’une défaillance des indices qui permettent de repêcher des éléments entreposé dans la mémoire.
Mémoire liée au contexte : information dont la capacité de repêchage est supérieure dans le contexte où elle a été apprise.
Mémoire liée à l’état : information dont la capacité de repêchage est supérieure dans l’état physiologique ou émotif où elle a été apprise.

L’amnésie
Une perte de mémoire massive, généralement associée à un choc physiologique ou psychologique.
L’amnésie antérograde : incapacité à former de nouveaux souvenirs après un traumatisme physique, en raison des effets traumatisme.

L’amnésie rétrograde : incapacité de se rappeler les événements qui sont survenus avant un traumatisme physique, en raison des effets du traumatisme.

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